hypothese : le monothéïsme est apparu à une certaine phase de l’évolution de l’humanité, c’est à dire à un certain moment de son histoire / si on envisage, sans certitude, que les idées de dieu qu’à l’humanité sont conditionnées au stade d’évolution de l’humanité, ne peut-on pas envisager que dans un futur plus ou moins proche un nouveau stade de conceptualisation transcendentale nous advienne ? car en dehors de l’idée, que nous respecterons, d’une déité révélée, il est un fait selon moi rationnellement démontrable même en l’abscence de preuve : l’univers comme on l’appelle, et pour être encore plus englobant : le réel, c’est quelquechose dont le centre est nécessairement partout et la circonférence nulle part (inspirée de la citation attribuée à Blaise Pascal). À PARTIR DE LÀ JE PRESSENS, JE RESSENS À TRAVERS UN CONCEPT NON VERBAL, C’EST À DIRE NON réduis PAR LE CADRE LIMITANT DU LANGAGE, QU’ON EST INCLUS DANS UN MILIEU (environnement à l’infini) DONT LES RÉGLES DU RÉEL NOUS ÉCHAPPENT AU POINT que LE SIGNE( VU EN TANT QUE “VERBE” EN RÉFÉRENCE À LA THÉOLOGIE), LE SIGNE DONC, DANS UN UNIVERS RÉEL-IRÉEL POSSIBLE-IMPOSSIBLE, serait logiquement UNE BRIQUE DE CONSTRUCTION AUSSI CONCRÈTE QUE LA MATIÈRE-ÉNERGIE-ONDULATION-PARTICULE. DANS UN RÉEL INCLUS DANS RIEN ET OBLiGATOIREMENT SANS LIMITE, TOUTE CHOSE ÉTANT DANS QUELQUECHOSE, ET CECI ÉTANT PARADOXAL ET CONTRaDICTOIRE, QUE NOUS DIRiONS IMPOSSIBLE, ALORS LE RÉEL EST IDÉE AUTANT QU’OBEt. l’infini inclus dans l’infini. dès lors l’idée de dieu pourrait trouver ici sa logique, même si les être humains s’approprient cette idée à une dimension très antropomorphique, qui en limite beaucoup la surdimension effective.